C'est n'importe quoi!

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Voici un commentaire que je viens de trouver sur mon skyblog.

Expéditeur : simon

Commentaire envoyé le : jeudi 06 mars 2008 14:08
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Tu penses etre différente...mais dans le fond, t'es comme tout le monde...t'es embarqué dans le moule pourrie et tu ne t'en rend pas compte...et en plus t'es superficielle...Tu me répugne.

Ah.
Eh bien.
Et, mon cher Simon, puis-je avoir l'honneur de savoir qui vous êtes?
Probablement personne.
D'important... à mes yeux.
Moi pareil. Moi comme les autres. Ah.
Pour commencer, qui êtes vous pour me juger?
Et que savez-vous pour me juger?

Je réponds à votre place à la première question :
Personne.
Vous n'êtes personne.
Un humain ne peut juger un humain, par le fait même qu'il est humain. La nature d'une chose ne peut juger sa propre chair, car le même niveau, la médiocrité à la médiocrité, vous propres souillures vous aveugle. Me juger, moi? Ah, ha ha, je ris de vos enfantillages, balivernes visqueuses et inutiles, flèches qui traversent mon âme, inatteignable, toujours blanche de vos mots infâmes. Vous êtes aussi médiocre et banal que moi, voir plus puisque vous perdez votre temps à surfer sur le net, à la recherche de skyblog de personne superficielle? Haha. Idioties sans fin! Vous vous trainez vous-mêmes dans la boue en croyez me salir! Vous me faites... presque pitié. Vous vous pensez supérieur à moi? Voilà la première faute, votre faiblesse. Vous n'êtes ni plus ni moins qu'un humain. Un humain ne peut juger un humain. Seul Dieu le peut. Gloire en Sa Lumière!

Ensuite... vous me juger... vous... qui ne me connaît pas?
Hilarant.
J'en meure de rire.
Vous ne connaissez à peine mon visage, un visage qui en dissimule un autre, caché dans l'ombre de la Lune sans cratère. Oh oh. Que de poésie?
Trêve de vers.
Vous ne voyez qu'un infime partie de moi, cette partie, à peine un pourcent de, ma foi!, si complexe personnalité!
Ce n'est pas moi qui vous dégoûte.
Car que je vous vomis dessus avant que j'eusse eu le temps de vous répugner.
Allez donc vous pendre dans un coin sombre, la société se retrouvera donc soulagée d'un parasite, doublé d'une imbécilité plus grande que son manque de classe et de tact, à jamais.
J'assisterai à votre enterrement, mais j'ai mieux à faire.
Que vous tripes pourrissent en paix.

PS: La prochaine que vous voulez m'impressionner, commencez par cesser de faire des fautes en écrivant.